dsl pour le retard ^^ bonne lecture fin vui on peu dire ca comme ca mdr
Chapitre 7
7 jours sont passés. Tous les même. Entre entendre les débilité des jumeaux ou rire avec Georg et Gus. David s’était fait rare.
Ils descendent leurs valises. Ils sont agités dans tout les sens. Encore un peu et on croit a l apocalypse. Moi je suis appuyé contre un mur et les regarde passer. Un qui glisse sur le rebord du tapis ou encore un autre qui rentre trop vite, sans regarder, dans une pièce et se prend un pan de mur.
Voila c est prêt 7 valises, mais c est prêt. Je me dirige vers l ascenseur mais Gus me retient.
~ Non ... faut mieux pas
~ Pour ?
~ Pour rien
On prend un petit escalier de secours et on se retrouve dans une minuscule ruelle. C est sur qu on risque pas de nous trouver ici.
Les garçons me disent au revoir, David aussi
~ Tu fais quoi maintenant ?
~ Je sais pas trop
~ Je vois
~ Au revoir et.. Et merci
Une boule grandie dans mon ventre. Même si parfois ils sont insupportables, je les considérais comme ma deuxième famille. C est fou comme je peux m attacher aux gens. Je n ai pas envie de les quitter mais ils faut. Alors j avance. Je ne me retourne pas même si c est tentant. Je sais que si je ne résiste pas je vais leur courir dans les bras. Mais non.
J entend des cris, ça m empêche de penser à la séparation. J essai d entendre mais ça n’est pas très audible!
Je tourne et change de rue, je ne peut m empêcher de lancer un dernier regard au 5 garçon qui n on toujours pas bouger .Puis brusquement la réalité refait surface. La bas des 100ene de filles crient, s évanouissent devant l hôtel. Je sais pas se qui se passe mais c est bizarre en tout cas. Les conducteurs des voitures regardent la scène plus qu impressionnante. Certains s arrêtent même.
Je continue a marcher, mes pieds frotte doucement le trottoir la force me manque. Le vent fait revenir mes cheveux devant mes yeux. Le froid fait ressortir la douleur et les cris me déchirent les oreilles. J accélère, j’en peux plus.
Mais j ai beau marcher j entend toujours les cris. Pire même ils redoublent. J entend une voiture qui démarre, puis qui freine violemment. Je me retourne. Je reste étonnée par ce que je voix. Jamais je aurai cru être aussi proche d un telle émeute. Les filles frappe sur la vitre tintée ne laissant aucune chance de voir les passagers. Les vigiles ont du mal a dégages le passe contraignant la voiture à rester immobile.
Je ne sais pas en combien de minutes tout ça c’est passer, trop vite pour assimiler mais trop lentement pour les passagers sans doute.
Mais ce qui passa beaucoup trop vite a mon goût, c est d être soulever brutalement du sol par un homme vêtu de noir à première vue ...
Chapitre 8
C est avec un haut le cœur que mes pieds se détachent brutalement du sol. La masse noir, au visage masqué par de grosse lunettes tout aussi noire, m emmène quelque rues plus loin. Peut être la surprise ou bien l angoisse, je ne sais pas, mais je n arrive pas a riposter. Comme devenue, d un coup, si fragile telle un morceau de porcelaine. Un coup de pied léger, une tape, voila tout se que ma force me permet de faire de plus violent. Rien de bien efficace bien sur face a se gorille humain.
Ça ou plutôt il, fruit de quelques coups de pieds bien mal placé, ralenti l allure, observant les alentours. Il décide quand même de me déposer. A peine mes pied touchent le sol, mon dos lui sabbat contre le mur. Son visage se rapproche du mien et je devine ses yeux a travers de ses grosse lunettes. Cet homme costau et effrayant en tout point, me murmure seulement :
~ attend la. Ils arrivent
Soit la langue, soit les paroles, je suis sur le cul. Limite je me fais enlever et je dois attendre la après un inconnu.
Je ferme les yeux, respire un bon coup et les ouvre
Il n est plus la.
Mais je ne bouge pas.
Et je fais bien. Quelques minutes pus tard un van s abat sur le trottoir, pas si loin de mes pieds.
La porte s ouvre a la volée et la silhouette de Georg apparaît directement.
~ Monte ! Grouille !
Seulement je ne vais pas assez vite à son goût. Il tire sur ma manche et je m étale sur les genou d un peu tout le monde, s entant ma porte se refermer derrière mes pieds. Et la voiture peut alors redémarrer en trombe.
~HO ! Y se passe quoi la ?
~ David a eux la merveilleuse idée de te reprendre avec nous, lança froidement Bill.
Un regard noir fusa. Mais il est vite réponde par les yeux de charbon du jeune homme.
Je détourne la tête et me concentre sur autre chose.
~ Et on va ou ?
~ Chez nos grands-parents.
~ Oh ...
Et après quelques arrangements, je passe le reste du voyage dans le coffre ou je fini par m endormir.
Helena est poussée de force dans le taxi. Elle se blottie contre sa sœur, les larmes toujours sur ses joues. Même si ont lui avait toujours que les adultes avaient tout le temps raison, là elle trouve que c était ridicule. Elle avais beau chercher, elle n avait aucune idée du pourquoi elles partaient comme ça voulant oublier toute leur vies.
Mais la peur d Helena ne fait que augmenter. Et elle ne le cache pas. A vrai dire elle na jamais connu aucun changement et elle aime ou plutôt elle aimait sa vie. Sa mère dit quelque chose au conducteur mais la petit fille na même plus le courage d écouter.
Elle se tourna alors vers la vitre et très vite son regard se noie dans le paysage qui défile...